L’architecture est complice de la nuit.
Ses formes et ses structures, que l’on ne perçoit pas nécessairement de jour, sont improbablement sculptées par une lumière moulante. Du vivant de l’architecte, cette lumière se doit de s’intégrer au mieux au projet. Plus encore, être associée au programme, en une sorte de rehausse adoubée.